Ça sonnait certainement comme une mauvaise blague qu’elle soit née en juin, sauf qu’aux de ses parents, le fait qu’elle s’appelle à une lettre près comme son mois de naissance importait vraiment peu. –Encore un jeu de mots de ces occidentaux- Pour eux, Jun c’était la droiture, l’organisation pure et dure. Mais peut-être auraient-ils changé d’avis au vu du devenir de leur fille…
Sa place dans le cocon familial a sûrement beaucoup joué sur son évolution personnelle : Cadette d’une fratrie de six enfants, elle a vite appris à se passer de l’attention des parents et à grandir par elle-même. Jun, c’est une fille qui a juste raté sa vocation de fille, un bug dans la matrice parce qu’à part ses cheveux un peu longs -et encore des hommes font ce choix...- -même sa poitrine est quasi inexistante- c’est un être des plus virils qui est assez grossier, trop spontanée, assez colérique, déteste perdre, et possède des chaussures à roulettes. -Oui, c’est viril!- Elle a passé son enfance dans les pattes de son grand frère, à brûler des vers de terre, à l’imiter, ce qui expliquerait son très mauvais rapport à l’autorité, sa passion de se battre, mais aussi le garçon manqué qu’elle est devenue. A vrai dire, elle aurait très bien pu grandir en une jeune fille douce, bien éduquée et intelligente mais le destin a voulu qu’elle naisse sous le toit des Shirogane. Nom qui rime avec tradition aux yeux de tous les habitants de Kawasaki dû à la réputation de leur restaurant plus que patriotique.
Bien que naturellement vive d’esprit, la demoiselle exploite son potentiel intellectuel en bavant délicatement et avec application sur ses livres de cours. Il vaut mieux économiser son énergie pour son club si cher à son coeur car ce n’est pas n’importe lequel! C’est celui de basketball toujours à la recherche de nouveaux talents, que vous retrouverez du mardi au vendredi au gymna... Enfin qu’importe... S’il lui est si important, c’est parce qu’elle a dû suer corps et âme pour pouvoir le rendre fier, et ce n’était pas une mince affaire quand on est aussi sous-douée qu’elle en sports d’adresse... Pourtant, uniquement parce que le basketball est un sport plutôt classe et qu’elle en avait marre d’être nulle -cf : le baseball au collège...-, Jun s’est entraînée sans relâche jusqu’à pouvoir prétendre au titre de vice-capitaine de l’équipe de Kaikō, maillot numéro 7 ! Néanmoins, si elle peut se permettre une telle chose bien qu’elle n’écoute pas un cours, c’est bien parce qu’elle sait qu’elle peut compter sur son adorable colocataire pour la prise de notes. D’ailleurs, son colocataire n’est autre que son meilleur ami de toujours : Takane Shigeki, avec qui elle a fait le meilleur comme le pire tout en entraînant cette pauvre Mayu dans leurs folies de sales garnements.
Sa place dans le cocon familial a sûrement beaucoup joué sur son évolution personnelle : Cadette d’une fratrie de six enfants, elle a vite appris à se passer de l’attention des parents et à grandir par elle-même. Jun, c’est une fille qui a juste raté sa vocation de fille, un bug dans la matrice parce qu’à part ses cheveux un peu longs -et encore des hommes font ce choix...- -même sa poitrine est quasi inexistante- c’est un être des plus virils qui est assez grossier, trop spontanée, assez colérique, déteste perdre, et possède des chaussures à roulettes. -Oui, c’est viril!- Elle a passé son enfance dans les pattes de son grand frère, à brûler des vers de terre, à l’imiter, ce qui expliquerait son très mauvais rapport à l’autorité, sa passion de se battre, mais aussi le garçon manqué qu’elle est devenue. A vrai dire, elle aurait très bien pu grandir en une jeune fille douce, bien éduquée et intelligente mais le destin a voulu qu’elle naisse sous le toit des Shirogane. Nom qui rime avec tradition aux yeux de tous les habitants de Kawasaki dû à la réputation de leur restaurant plus que patriotique.
Bien que naturellement vive d’esprit, la demoiselle exploite son potentiel intellectuel en bavant délicatement et avec application sur ses livres de cours. Il vaut mieux économiser son énergie pour son club si cher à son coeur car ce n’est pas n’importe lequel! C’est celui de basketball toujours à la recherche de nouveaux talents, que vous retrouverez du mardi au vendredi au gymna... Enfin qu’importe... S’il lui est si important, c’est parce qu’elle a dû suer corps et âme pour pouvoir le rendre fier, et ce n’était pas une mince affaire quand on est aussi sous-douée qu’elle en sports d’adresse... Pourtant, uniquement parce que le basketball est un sport plutôt classe et qu’elle en avait marre d’être nulle -cf : le baseball au collège...-, Jun s’est entraînée sans relâche jusqu’à pouvoir prétendre au titre de vice-capitaine de l’équipe de Kaikō, maillot numéro 7 ! Néanmoins, si elle peut se permettre une telle chose bien qu’elle n’écoute pas un cours, c’est bien parce qu’elle sait qu’elle peut compter sur son adorable colocataire pour la prise de notes. D’ailleurs, son colocataire n’est autre que son meilleur ami de toujours : Takane Shigeki, avec qui elle a fait le meilleur comme le pire tout en entraînant cette pauvre Mayu dans leurs folies de sales garnements.